Virginie Gomez

Votre 1ère vente ?

15 ans déjà! Pas de complexité juridique ou de rude négociation jusqu’à la signature du compromis… sauf entre les vendeurs de la succession qui ne s’entendaient pas, et ce jusqu’au jour de la signature chez le notaire. Du coup, ce furent nos premiers exercices d’arrondis d’angles, de gestion du «facteur» humain… Une bonne entrée en matière !

Dans quelles circonstances professionnelles avez vous déjà usé ou abusé (!) du pouvoir d’être une femme dans l’immobilier ?

Qui n’a pas succombé à la tentation de jouer les faibles femmes, le temps de transporter la lourde échelle qui permet d’accéder au grenier du bien que vous vendez ou de soulever la plaque en métal qui protège le compteur d’eau qu’il faut relever avec votre futur locataire ?!

Les occasions ne manquent pas de solliciter l’aide d’un charmant chevalier servant ! Mais, hélas ! Force est de constater que la galanterie à la française tend à se perdre…

La touche féminine dans l’immobilier : c’est quoi pour vous ? 

C’est une certaine empathie, l’art d’écouter le client et d’échanger avec lui sur son projet immobilier, et souvent bien plus… On se retrouve assez vite à échanger des bonnes recettes, des adresses… et parfois ils nous est même arrivé de jouer les Cupidon !